L’avenir du Centre parisien d’information et de documentation de la jeunesse

L’avenir du Centre parisien d’information et de documentation de la jeunesse

Comme le relate la dépêche AFP du 26 octobre, « Le Centre d’information et de documentation jeunesse (CIDJ) devra quitter ses locaux près de la Tour Eiffel en fin d’année, victime d’un conflit financier entre les institutions, a regretté mardi sa présidente Marie Richard. Les institutions se renvoient la balle et aucune alternative satisfaisante n’a pour l’heure été présentée au Centre, qui informe 100.000 jeunes tous les ans sur des questions d’orientation et d’emploi ».

Les salariés du CIDJ et les jeunes ont besoin de réponses sur leur avenir à court terme !

Après la forte mobilisation de 2015 qui a permis de mettre en échec un plan de suppression de 19 postes de travail, les jeunes usagers, les salariés dont les représentants du personnel sont de nouveau très inquiets en 2020. Le climat anxiogène actuel est accentué au CIDJ par la forte incertitude pesant sur la localisation du CIDJ au 1er janvier 2021.
En effet, en raison de la préparation des JO 2024, la Ville de Paris récupère les locaux de 4 000 m² qu’elle mettait gratuitement à disposition du CIDJ de longue date. Celui-ci a été informé il y a deux ans de cette décision. Or depuis aucune solution pérenne de remplacement n’a été trouvé pour localiser le CIDJ qui doit désormais quitter les lieux dans deux mois.

Les 77 emplois seront-ils tous maintenus dans ces conditions ? Nul ne le sait.

L’État, autorité de tutelle du CIDJ, doit jouer son rôle !

Au lieu de cela le gouvernement tente de profiter de cette aubaine pour continuer à se décharger du coût de cet organisme national sur les collectivités locales. Cela entre aussi certainement dans sa politique globale de privatisation de l’orientation via le démantèlement de l’ONISEP et de la formation.

La Région qui pourrait faire des propositions et prendre sa part regarde ailleurs. Pire elle a diminué d’un tiers la subvention versée au CIDJ la faisant passé de 300 000 € en 2014 à 200 000 euros en 2020… après l’avoir totalement supprimée de 2015 à 2018 !

Si ce n’est pas à la Ville de Paris, seule, d’assumer cette responsabilité, Convergence Services Publics Paris insiste pour qu’elle intensifie son soutien, et fasse tous les efforts nécessaires pour qu’une solution pérenne puisse être trouvée le plus rapidement possible. Elle l’a fait en bien des domaines plus complexe où l’État se désengageait comme celui des mineurs isolés.

Il serait absurde que la mission de services publics assurée par le CIDJ s’arrête à cause de la panne d’une gouvernance tripartite. Convergence Services Publics Paris demande expressément à L’État et à la région de retrouver le sens de l’intérêt général en jouant pleinement leur rôle. Convergence Services Publics Paris insiste auprès de l’État, de la Région et de la Ville sur l’urgence de trouver au plus vite une solution afin que le CSE puisse être rapidement informé et consulté, et que le CA puisse assumer son rôle décisionnel.

La Convergence Services Publics exige le maintien des emplois.

La Convergence ne peut déplorer que l’inconséquence du gouvernement se répercute ainsi sur notre jeunesse : de nombreux jeunes ont besoin du CIDJ qui s’efforce depuis cinquante ans d’encourager l’égalité des chances. Laisser planer des doutes sur le devenir du CIDJ et ses employés, c’est obérer l’avenir de jeunes, les priver de ressources si utiles au moment où l’on se fraie une voie vers l’âge adulte et citoyen.

Pierre Laurent, sénateru de Paris a interpellé le M. le ministre de l’éducation nationale, de la jeunesse et des sports pour lui demander que l’État, la région Île-de-France et la ville de Paris élaborent ensemble un projet pérenne permettant la sauvegarde de l’offre du centre actuel concernant les questions d’orientation et d’emploi et les 77 emplois afférents.

 

 

Appel de la Convergence pour mettre les services publics au cœur du projet de société

Appel de la Convergence pour mettre les services publics au cœur du projet de société

Après avoir réuni plus de 54 organisations lors d’une visioconférence le 19 mai dernier la Convergence a décidé de travailler à la mise en place d’états Généraux des Services Publics et la rédaction d’un mémorandum. Il s’agit, au travers de ces initiatives, de créer un rapport de force en faveur de la défense et du développement des Services Publics, de la Fonction Publique et de la Sécurité Sociale, et de mettre les Services publics au coeur d’un projet de société.
Pour amorcer cette construction collective nous proposons comme première étape un texte qui trace les grandes lignes de cette démarche.
La deuxième étape vous appartient en proposant des contributions, dégageant les perspectives que vous souhaiteriez pour l’avenir, dans un secteur public qui vous tient à cœur.

A vos claviers !
Faites parvenir vos textes (une page ou deux ) à convergenceservicespublics@gmail.com


POUR LE JOUR D’APRÈS

Appel pour mettre les services publics au cœur du projet de société

Le 27 mai 2020, c’était l’anniversaire de la création du Conseil national de la résistance (CNR). Aux heures les plus sombres, la question a été posée d’un pays qui retrouve son indépendance et qui met en place des institutions nouvelles avec plus de justice sociale. Cela a conduit aux grandes conquêtes de la libération, la Sécurité Sociale, les nationalisations, les statuts et les grilles salariales pour le secteur privé.
Nous avons vécu, depuis le milieu des années 1980, le minage progressif de toutes les constructions mises en place à cette époque. Les grands services publics ont souvent été transformés en sociétés anonymes quand ils n’ont pas été complètement privatisés, avec une perte des droits des personnels et des citoyens.

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Pour réinventer les Services Publics du « jour d’après » la Convergence invite …

Pour réinventer les Services Publics du « jour d’après » la Convergence invite …

La Convergence avec plus de 30 autres organisation a publié un texte et propose une pétition « Plus jamais ça ! Construisons ensemble le jour d’après.» pour, dans le contexte malheureusement mortifère de la propagation du coronavirus  de préparer le ou les jours d’après. La Convergence, qui s’est donné pour but de faire converger tous les mouvements porteurs de l’exigence de Service Public, s’inscrit dans cette démarche et propose un volet spécifique «  Services Publics ».

Parce qu’elle estime que rien ne sera possible sans créer les conditions d’un changement systémique de la société et qu’un tel changement passe par la défense, la reconquête, le développement et même la réinvention des politiques publiques des services publics de la fonction publique, son conseil d’administration a décidé d’inviter les organisations syndicales, de jeunesse, associatives et politiques dans un premier temps à une conférence téléphonée le 19 mai à 18h00 puis si possible une réunion physique au mois de juin pour se doter d’un plan de travail.

                                                                                La lettre est téléchargeable ——————>

Plus jamais ça ! Construisons ensemble le Jour d’Après

Ensemble, préparons le Jour d’Après, avec un même mot d’ordre : « plus jamais ça ! ».

Avec 15 organisations(*), nous appelons chaque citoyen-ne-s, vous, à faire entendre sa voix pour défendre des mesures sociales, environnementales et féministes et construire, ensemble, le monde d’après.

La crise sanitaire actuelle a mis le monde à l’arrêt tout en le précipitant dans l’urgence, celle de sauver des vies. Celle, aussi, de repenser et reconstruire un système qui, la preuve vient d’en être dramatiquement donnée, ne mène qu’à l’impasse. Une impasse sanitaire, mais aussi sociale et climatique, pour laquelle nous sonnons l’alarme depuis des années.

Aujourd’hui, une opportunité historique nous est donnée : celle d’une remise à plat d’un système injuste, climaticide et sexiste. Celle de réaliser les changements politiques nécessaires, les plus importants de ces dernières décennies. Celle d’un progrès collectif, jamais réalisé depuis des générations, pour un monde juste et durable. Celle de construire un monde « d’après » qui profite à toutes et tous et non plus à une minorité privilégiée, et préserve notre avenir et celui de la planète.

Dans ses dernières déclarations, Emmanuel Macron a appelé à des « décisions de rupture » et à placer « des services (…) en dehors des lois du marché ». Au-delà de grands discours, l’heure est aux actes.

En tant que citoyen-ne-s, nous avons toutes et tous le pouvoir de nous faire entendre pour prendre part à ces décisions qui impacteront durablement nos vies et celles des générations futures. Aujourd’hui, ensemble, défendons les mesures sociales, écologiques, féministes, qui s’imposent.

Défendons ensemble des mesures urgentes et de long terme pour la justice sociale et climatique

Tirons les leçons de la crise actuelle et pallions aux dysfonctionnements générés par les politiques menées depuis des années.

La protection et la promotion des services publics doit être une priorité, dès aujourd’hui et pour demain. Ils sont les garants de notre santé, de notre éducation, de notre avenir. Ils sont les meilleures armes face à des inégalités croissantes et les garants du respect des droits fondamentaux. Les protéger, c’est investir dedans. C’est aussi revaloriser les personnes qui y travaillent et leur donner les moyens d’agir.

La crise sanitaire actuelle est une loupe grossissante d’inégalités criantes. Nous ne pourrons accepter que les choix politiques qui seront faits viennent les accentuer. Ils devront au contraire les réduire, en priorité pour les femmes, aujourd’hui en première ligne de la crise, et pour les plus vulnérables, en France et dans le monde.

Enfin, nous voyons aujourd’hui toute la violence humaine et sociale d’une crise qui a pris nos sociétés de cours. Ne faisons pas la même erreur face à la crise climatique, dont les effets se font déjà sentir fortement et qui seront encore plus dévastateurs à l’avenir. Les choix faits pour demain ne doivent en aucun cas privilégier le court terme, et sacrifier la planète à une croissance « coûte que coûte ». Une autre voie est possible, et ensemble, nous pouvons la défendre.

Aujourd’hui, nous avons le pouvoir de construire le monde de demain, pour qu’il soit  le reflet de nos aspirations : un monde plus juste, durable et solidaire.

Ne laissons pas les décisions se prendre sans nous et contre nous.

Nous avons le pouvoir citoyen.

 

Visionnez la vidéo du collectif

 

Signez la pétition

* Action Non-Violente COP 21, Alternatiba, les Amis de la Terre France, Attac France, CCFD Terre Solidaire, Confédération paysanne, CGT, Convergence nationale des Services Publics, Fédération syndicale unitaire (FSU), Fondation Copernic, Greenpeace France, Oxfam France, Reclaim Finance, Union syndicale Solidaires, 350.org
Depuis la publication, les organisations suivantes signent aussi la pétition
Action Aid France, Droit au logement, Femmes Égalité, Fidl, Il est encore temps, Le mouvement, MAN, MNL, Notre affaire à tous, Partager c’est sympa, Syndicat des Avocats de France, Syndicat de la Magistrature, UNL, Utopia.

Sanctionné pour avoir prescrit l’utilisation de masques à des aides à domicile

Sanctionné pour avoir prescrit l’utilisation de masques à des aides à domicile

Depuis le 15 avril Anthony Smith, un inspecteur du travail de la Marne, ancien secrétaire général de la CGT-TEFP (travail emploi formation professionnelle), membre de son bureau national et représentant des inspecteurs du travail ne peut plus exercer sa mission.

Pourquoi ? ll a été mis à pied par la Ministre du Travail Muriel Pénicaud.

Que lui reproche-t-on ? D’avoir prescrit l’utilisation de masques pour les aides à domicile, tout en adressant régulièrement des lettres de rappel de la règlementation aux entreprises de son secteur. En réalité, Anthony Smith a simplement fait son travail : protéger les salariés.

La décision de la Ministre du travail est proprement honteuse !

A l’initiative de l’UFCE-CGT, une tribune dans Libération, signée par plus de 150 personnalités politiques, syndicales et associatives, dont notre président Michel Jallamion , interpelle la ministre Perricaud.

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2020, année de luttes et de débats

La Convergence Nationale vous souhaite une très bonne année 2020. 

Le mouvement social sur les retraites mais également les mobilisations citoyennes, des collectifs et des organisations syndicales, associatives et politiques sur les services publics (santé, rail, poste, énergie, eau et barrage, Aéroports, pompiers,  police scientifique, justice, écoles, universités, statut de la fonction publique…), l’égalité femmes-hommes et l’environnement marqueront à coup sûr cette année de leur sceau tout comme ils le firent, avec les gilets jaunes, en 2019.

Le choix de société qui s’offre à nous devient chaque mois de plus en plus prégnant : 

  • soit nous nous résignons et acceptons d’aller vers une société du chacun pour soi comme le programme le gouvernement qui a déjà bien avancé en ce domaine (RGPP et CAP 2022, loi Pacte avec notamment la privatisations de la Française des jeux, d’ADP et d’Engie-, « réforme » de la sécurité sociale, MFS, précarisation de l’emploi, privatisation du rail, des barrages, de l’orientation et de la formation, destruction des solidarités, des services de proximités, de l’économie sociale et solidaires (ESS) et du tissu associatif, …) ,  
  • soit nous convergeons pour créer un rapport de force conséquent enfin d’enrayer ce qui paraît être, pour beaucoup trop de nos concitoyens, inéluctable. Nous le devons pour créer les conditions de porter, ensemble, une alternative aux politiques d’austérités qui minent notre pays depuis désormais des décennies.

Les services publics, vecteurs d’égalité, sont, malgré l’ensemble des attaques dont ils font l’objet toujours prisés par nos concitoyens tout comme leurs personnels. Ils sont à coup sûr une pierre d’angle pour bâtir la société de solidarité dont ont rêvé nos aînés et en la faisant avancer dans la réalité : Révolution Française, La Commune, 1936, le programme du CNR, 1968, 1981… 

Nous devons aider à ce qu’une telle société constitue à nouveau un horizon pour nos concitoyens et particulièrement notre jeunesse. 

Comment bâtir une telle société sans services publics? Comment imposer la norme commune, l’intérêt général aux intérêts particuliers, aux firmes internationales sans outils publics démocratisés au service de nos concitoyens ? Comme faire avancer l’impératif environnemental, l’égalité femmes-hommes, l’accès aux droits, les normes sociales, l’aménagement du territoire sans eux ?

Comment peut-on articuler  les différents échelons locaux et l’échelon national pour l’intérêt général ? Comment permettre non seulement l »expression démocratique des citoyens – usagers-personnels-élus- mais également leur participation aux prises de décisions ? Comment réorienter les outils numériques quasi-exclusivement mis au service des profits économiques et financiers vers un mieux-disant social et une amélioration des couvertures des besoins de notre territoire? 

Quels liens entre les communs, le tissu associatif, l’ESS et les services publics ? Quels nouveaux services publics sont nécessaires ?

Bref quels services publics, quelle société du 21ème siècle voulons nous, pour nous, mais aussi pour nos enfants, petits-enfants, parents et grands-parents ? 

Comment amplifier la convergence nécessaire des différentes luttes et expressions existantes ?

Voici quelques questions à se poser pour cette nouvelle année et donc quelques-uns des chantiers qui seront ouverts lors de notre assemblée générale annuelle.

Soutien à la grève à Radio France

La Convergence apporte son total soutien aux salariés de Radio France en grève depuis le 25 novembre dernier à l’appel d’une intersyndicale CGT-UNSA-CFDT-FO-SNJ.

La direction veut supprimer 299 emplois et réaliser 60 millions d’euros d’économies dans quasiment tous les secteurs. Sont concernés :  production, information, formations musicales, administration, services communs comme le nettoyage ou l’accueil…

Certains secteurs sont particulièrement visés : la documentation, FIP, … Le chœur perdrait un tiers de son effectif – il serait réduit de 93 à 60 chanteurs. Ce ne sera donc plus un chœur symphonique. Et si la direction parle de départs volontaires les organisations syndicales n’excluent pas des départs contraints.

Les effets de ces coupes budgétaires vont être catastrophique sur la qualité des contenus. Or cette qualité fait la spécificité et la différence du service public de l’audiovisuel. Elle est attendue par les auditeurs comme en témoignent les bons résultats d’audience. Celle-ci a un coût. Pour la faire vivre, au lieu de faire des coupes dans le budget il faut investir. C’est le sens des revendications du personnel et de leurs organisations syndicales. C’est le sens de notre soutien et de notre combat pour la défense et le développement du service public d’information de qualité.

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Des voix et collaborateurs(trices) des émissions de Radio France, se sont adressé collectivement au Gouvernement et au Ministère de la Culture, pour leur faire part de leur inquiétude dans ce moment crucial que traverse le groupe. Il est possible de s’associer à cette initiative en signant leur pétition

Aéroports de Paris : déjà un million de signatures !

La Convergence nationale des Services Publics se félicite de ce résultat obtenu par l’engagement militant de tous les collectifs et organisations partenaires qui ont répondu à son invitation à « faire décoller » la campagne pour l’obtention de ce référendum ! La Convergence salue les collectivités territoriales et les 248 parlementaires qui ont fait le choix de s’investir dans cette campagne : leur participation est essentielle.

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 Le million est dès à présent dépassé de plus de 500 voix : le concours de chacune et chacun a été précieux pour atteindre ce seuil donné le 25 avril 2019 par le président Macron comme devant être celui à retenir pour permettre d’engager le référendum d’initiative partagé (RIP).

Cette première étape est donc franchie !  Il en reste évidemment beaucoup d’autres dont celle primordiale de l’information par les médias. Il s’agit d’un droit constitutionnel nouveau. Nous leur demandons d’en informer les Français comme ils le font à chaque élection. Le gouvernement refuse de livrer un kit aux collectivités locales, il veut faire silence sur ce référendum. C’est un déni de démocratie. 

La Convergence attend du président de la République qu’il honore sa parole. Il en gagnerait en crédibilité.


Quoi qu’il en soit, la mobilisation sociale historique de ce 5 décembre sera l’occasion de franchir de nouvelles étapes. Relevons le défi pour mettre un terme à la vague de privatisation qui sévit depuis 30 ans dans notre pays.

Nos services publics, nos entreprises publiques et notre sécurité sociale nous appartiennent nous refusons de nous en faire déposséder !  

Débat sur les services publics


Comment reprendre la main sur notre vie de citoyen(ne) ?

Dans la suite des débats publics que le collectif citoyen de Paris 15ème  a menés au cours du premier semestre et de ses actions  pour  obtenir un referendum d’initiative partagée sur la privatisation des aéroports de Paris, il organise un grand débat sur les services publics :

  • Qu’est-ce qu’un service public ?
  • Les services publics et leurs agents  représentent-ils un coût ou une richesse pour la collectivité ?
  • De quels services publics a-t-on besoin ?
  • Pourquoi faut-il les défendre ?
  • Comment les améliorer  ?

en présence de Michel JALLAMION, Président de la Convergence nationale des services public

 

 

 

 

 

Évènements à venir